
mercredi 13 mai 2009
Visionnage obligatoire : ) !

mercredi 29 avril 2009
jeudi 2 avril 2009
Il vous reste bien de la place pour un petit dessert ?
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& ces modules proposés par le Bureau de la Vie Etudiante (URCA) et la Ligue de l'Enseignement
mardi 31 mars 2009
vendredi 27 mars 2009
lundi 23 mars 2009
dimanche 22 mars 2009
dimanche 15 mars 2009
vendredi 13 mars 2009
Claire nous fait parvenir ceci : instructif...
Dimanche 15 mars sonne la fin de la trêve hivernale et du sursis pour tous les locataires sous le coup d’un jugement d’expulsion. Dans quatre jours, les expulsions pour défaut de paiement de loyers (dix mille ont été prononcées avec recours à la force publique en 2008) pourront donc reprendre, et ce, jusqu’au 1er novembre. Mais, dans un entretien exclusif, Christine Boutin annonce que la fin de cette trêve devient caduque : il n’y aura plus d’expulsions sans solution de relogement ou d’hébergement. La ministre du Logement rappellera cette obligation aux préfets aujourd’hui, lors d’un déplacement à Châlons-en-Champagne (Marne). Un collectif de trente-deux associations d’aide aux mal-logés a demandé un moratoire sur les expulsions. Que lui répondez-vous ? Christine Boutin. Je lui dis : « J’ai mieux à vous proposer. » Désormais, il n’y aura plus de personnes mises à la rue, plus d’expulsions sans une solution de remplacement. Un préfet ne mettra plus à exécution un jugement d’expulsion sans proposer un relogement ou un hébergement pour les locataires dans l’impossibilité de payer leur loyer. Il y a désormais une obligation de résultat. Ce principe entre immédiatement en vigueur.
Comment ? Tout cela est encadré par ma loi sur le logement qui exige la mise en place, dans chaque département, d’une commission de prévention des expulsions et qui facilite le développement de l’intermédiation locative. Concrètement, une association ou un bailleur social bénéficiant de crédits de mon ministère pourra, vis-à-vis du propriétaire, se substituer aux locataires en difficulté et accompagner ces familles fragilisées. Cela doit leur permettre de rester dans leur logement. J’y veillerai. Que prévoyez-vous pour les locataires dits de « mauvaise foi » qui se trouvent sous le coup d’un jugement d’expulsion ? Mon objectif est clair : personne ne doit se retrouver à la rue à la suite d’une expulsion. Mauvaise foi ou pas, ils auront droit au moins à une solution d’hébergement. La loi de 1990 sur la trêve hivernale reste en vigueur ? Oui, mais avec l’obligation faite aux préfets de proposer une solution de relogement ou d’hébergement avant toute expulsion. Maintenant, les locataires ne sont plus seuls face aux difficultés de paiement. Il n’est pas honteux de recevoir l’aide de la commission de prévention. Encore faut-il que les préfets aient des logements disponibles… C’est évidemment plus facile en province qu’en Ile-de-France. Mais je veux rappeler quand même qu’on n’a jamais autant construit de logements sociaux qu’actuellement.
Le 15 mai, les Enfants de Don Quichotte installeront des campements un peu partout dans l’Hexagone. Qu’en pensez-vous ? Franchement, je n’ai à rien à dire là-dessus. Mon action n’est pas de développer des campements provisoires, mais de trouver des solutions décentes et durables. Le Parisien France info Plus d'expulsion sans relogement (Boutin) 12/03/2009-[02:09] - AFP PARIS, 12 mars 2009 (AFP) - La ministre du Logement, Christine Boutin, a affirmé dans un entretien à Aujourd’hui en France/Le Parisien jeudi qu’il n’y aurait plus d’expulsions sans une solution de relogement. "Désormais, il n’y aura plus de personnes mises à la rue, plus d’expulsions sans une solution de remplacement", a-t-elle déclaré, alors que la trève hivernale s’achève le 15 mars. "Un préfet ne mettra plus à exécution un jugement d’expulsion sans proposer un relogement ou un hébergement pour les locataires dans l’impossibilité de payer leur loyer", a ajouté Mme Boutin. "Ce principe entre immédiatement en vigueur", a-t-elle précisé. Pour la ministre du Logement, "tout cela sera encadré par la loi sur le logement qui exige la mise en place, dans chaque département, d’une commission de prévention des expulsions et qui facilite le développement de l’intermédiation locative".
lefigaro.fr Boutin : «Pas d'expulsion sans relogement» A trois jours de la fin trêve hivernale, la ministre du Logement promet dans une interview au Parisien des alternatives à l'expulsion des locataires mauvais payeurs. C'est une première. «Désormais, il n'y aura plus de personnes mises à la rue, plus d'expulsions sans une solution de remplacement» affirme la ministre du Logement, Christine Boutin, dans un entretien au Parisien jeudi, à quelques jours de la fin de la trêve hivernale, dimanche prochain. «Ce principe entre immédiatement en vigueur», précise-t-elle. «Un préfet ne mettra plus à exécution un jugement d'expulsion sans proposer un relogement ou un hébergement pour les locataires dans l'impossibilité de payer leur loyer», précise la ministre. Elle s'apprête à le clamer haut et fort aux préfets ce jeudi, lors d'un déplacement à Châlons-en-Champagne.
Comment cette mesure pourra-t-elle être mise en place ? Le principe est «encadré par la loi sur la logement», explique la ministre. Celle-ci a mis en place une commission de prévention des expulsions qui «facilite l'intermédiation locative». «Une association ou un bailleur social bénéficiant de crédits du ministère pourra, vis-à-vis du propriétaire, se substituer aux locataires en difficulté et accompagner ces familles fragilisées». Les locataires pourront ainsi, soit rester dans leur logement, soit s'en voir proposer un autre. Quant aux locataires dits de mauvaises foi, qui peuvent payer leur loyer mais ne le font pas, «ils auront droit aussi à une solution d'hébergement». La loi de 1990 sur la trêve hivernale reste pour autant en vigueur. Officiellement, du 15 mars au 1er novembre, les foyers ne payant pas leur loyer peuvent être expulsés de leur logement. En 2008, 10.000 expulsions pour défaut de paiement de loyers avaient été exécutées avec recours à la force publique. La fin de la trêve semble bien désormais caduque. Reste à savoir si les préfets seront réellement en mesure de reloger les expulsés. «C'est évidemment plus facile en province qu'en Ile-de-France », concède Christine Boutin, qui en profite pour rappeler : «on n'a jamais autant construit de logement sociaux qu'actuellement». NouvelObs.com / AP
Il n'y aura plus d'expulsions sans solution d'hébergement, selon Christine Boutin AP 12.03.2009 04:05 Il n'y aura plus d'expulsions sans solution d'hébergement, a déclaré la ministre du Logement, Christine Boutin, dans un entretien publié ce jeudi par "Le Parisien/Aujourd'hui en France", alors que la trêve hivernale prend fin dimanche. "Désormais, il n’y aura plus de personnes mises à la rue, plus d’expulsions sans une solution de remplacement", a expliqué Christine Boutin, qui s'apprête à le clamer haut et fort ce jeudi, lors d'un déplacement à Châlons-en-Champagne (région Champagne-Ardenne), selon le quotidien. La loi de 1990 sur la trêve hivernale reste en vigueur "mais avec l'obligation faite aux préfets de proposer une solution de relogement ou d'hébergement avant toute expulsion", pour les "locataires dans l'impossibilité de payer leur loyer", a-t-elle précisé. Le "principe entre immédiatement en vigueur", a affirmé la ministre du Logement, même si ce sera "évidemment plus facile en province qu'en Ile-de-France", ajoutant: "Ma loi sur le logement (...) exige la mise en place dans chaque département d'une commission de prévention des expulsions."
En 2008, 10.000 expulsions pour défaut de paiement de loyers ont été prononcées avec recours à la force publique, selon "Aujourd'hui en France"/"Le Parisien". AP La-Croix.com Christine Boutin s’exprime sur les expulsions Trois jours avant le terme de la trêve hivernale sur les expulsions (le 15 mars), la ministre du logement Christine Boutin se déplace aujourd’hui dans la Marne. Elle devrait rendre publique la réponse du gouvernement aux associations qui réclament un moratoire sur les expulsions. Invitée de l’émission radiophonique « Face aux chrétiens », Christine Boutin s’était déclarée la semaine dernière, personnellement, favorable à une prolongation de la trêve de deux ou trois mois (La Croix du 6 mars).
lundi 9 mars 2009
Réforme des minimas sociaux
jeudi 5 mars 2009
lundi 2 mars 2009
jeudi 26 février 2009
pour faire suite au cours sur les jeunes en errance
lundi 16 février 2009
Wine & Cheese
dimanche 1 février 2009
jeudi 29 janvier 2009
Pour parler projet ; ) : Un combat pour la liberté d'expression
Pour la visite virtuelle, c'est par ici messieurs-dames
http://www.visit-online.com/demeure_du_chaos/index0.htm#
Pour en savoir plus :
La Demeure du Chaos - Un combat pour la liberté d'expression
Vidéo envoyée par abodeOFchaos
La Demeure du Chaos - Un combat pour la liberté d'expression - 1999/2009
Ce film n’est pas un reportage, ce film n’est pas un documentaire, ce film n’est pas un court-métrage, ce film est le miroir tragique d’une société profondément malade, qui demande avec froideur d’annihiler et de détruire des milliers d’oeuvres d’art…
Ce film nous explique qu’en France, l’oeuvre d’art n’a aucun droit d’exister de manière autonome sur l’espace public. Elle doit se conformer impérativement au plan local d’urbanisme.
On enlève donc à l’oeuvre d’art tout ce qui la distingue de l’urbanisme : sa singularité, l’empreinte de son auteur, ses signes distinctifs, sa forme, son médium, son sujet,son âme .
Ce film restitue l’écriture engagée du réalisateur Etienne Perrone ; il porte littéralement la voix des 104 500 signataires pour défendre la liberté d’opinion en France où les critères d’une société démocratique s’estompent peu à peu.
thierry Ehrmann
Procès en appel à Grenoble - 17-18 novembre 2008
Réalisation : Etienne Perrone sur un synopsis judiciaire de thierry Ehrmann
Images : Etienne Perrone - Simon Désage
Production : Musée l’OrgAne - La Demeure du Chaos
avec l’aimable autorisation du Musée des Beaux-Arts de Lyon
jeudi 22 janvier 2009
Objet : Chien ou loup, choisis ton camp, camarade..... Envoyé ce jour par Gwenaël
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli , qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers ,
Sire loup l'eût fait volontiers;
Mais il fallait livrer bataille,
Et la mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le loup donc, l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
«Il ne tiendra qu'à vous, beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui répartit le chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, hères, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi? rien d'assuré; point de franche lippée ;
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez moi, vous aurez un bien meilleur destin.»
Le loup reprit: «Que me faudra-t-il faire?
-Presque rien, dit le chien: donner la chasse aux gens
Portants bâtons et mendiants;
Flatter ceux du logis, à son maître complaire:
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons:
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse.»
Le loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse
Chemin faisant, il vit le cou du chien pelé.
"Qu'est-ce là? lui dit-il. - Rien. - Quoi? rien? -Peu de chose.
Mais encore ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché? dit le loup: vous ne courez donc pas
Où vous voulez? - Pas toujours; mais qu'importe? -
Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor."
Cela dit, maître loup s'enfuit, et court encore.
Mr fontaine
(malgré ses belles poésie, je lui sectionne sa particule...he toc!!)
>pour répondre à cette chouette fable qui fait écho à nos réflexions en cours, voici un autre conte (bien connu) et qu'il est fort intéressant de regarder au travers du prisme des sciences sociales - et ça m'a été soufflé par mon poto de SINGLY ; )
> Richard
http://fr.wikisource.org/wiki/Lettres_de_mon_moulin_-_La_Chèvre_de_monsieur_Seguin